1999 : PREMIER SPECTACLE

 

"LA GRAND MESSE DU RIRE"

 

             De pur style café-théâtre et en grande partie écrit par les comédiens, ce spectacle se compose d'une suite de sketches et de chansons qui animent le déroulement d'une messe.

      Sachez que pour réaliser cette « grand messe du rire », il faut des fidèles : le public ; un curé : le Père Hoquet ; un bedeau : Monsieur GOUGOULE, une choriste sachant jouer de l'harmonium : Melle DUGRONÉ ; une enfant de chœur : la petite Gégé, une religieuse : Sœur Marie Madeleine ; une bonne du curé : La bonne Clémence et deux bigotes assez vamps : Raymonde et Ginette.

      Ajoutez quelques vieilles chansons françaises en guise de chants et cantiques, quelques lectures et sermons tirés des meilleures blagues, et vous obtenez une heure trente de « grand messe » façon Amuse-Gueules.

 


 

2000 : DEUXIEME SPECTACLE

 

"AMOUR... RIRE DE RIRE"

 

       Ce spectacle n'est ni plus ni moins une sorte de conférence ayant pour thème l'amour. Ainsi, pendant une heure trente, la journaliste et animatrice, Bérénice DELAFOUNE, aidée d'une sexologue, Mireille BELLEMICHE, et d'une professeur « désagrégée », Raymonde VIAGRA, vont nous parler de l'amour et nous en faire découvrir toutes les facettes.

      De la drague au mariage, du célibat à l'adultère, du coup de foudre à la scène de ménage, tout est « épluché, disséqué, déshabillé », pour le plus grand plaisir du public. A noter que plusieurs personnes viendront témoigner et raconter leur propre histoire, parmi elles : un dragueur invétéré, une célibataire endurcie, un exhibitionniste, une « soixante-huitarde attardée », un couple d'homosexuels Tout cela traité avec humour, il va de soi. Bref, le public à travers cette suite de sketches est à la fois témoin et acteur de cette drôle de conférence !

 


 

 

2002 : troisième SPECTACLE

 

"cocktail de pays...âneries"

 

      Pour préparer ce cocktail, il a fallu trouver : un ancien maire sans autorité, un domestique efféminé, un écossais très maniéré, une vieille fille très haut placée, un paysan pas très futé, une mégère non apprivoisée, une anglaise un peu coincée, une paysanne arriérée, un conseiller à déconseiller, des costumes des plus démodés, du maquillage exagéré et des musiques pas très branchées !

     En mélangeant et en secouant bien le tout, vous obtenez un cocktail d'une heure trente de rire façon Amuse-Gueules.

 


 

2004 : quatrième  SPECTACLE

 

"un mariage pour rire"

 

 

 Ce quatrième spectacle, entièrement écrit par la troupe, dans la lignée des précédents, est une suite de sketches et de chansons reliés entre eux par un fil conducteur qui a pour thème la journée d'un mariage.

Pour résumer, le public assiste à un repas de mariage peu ordinaire, celui de Viviane, la fille de Raymond et Monique CHOUILLON qui espéraient beaucoup mieux pour leur fille que ce « pantin » de Michel, le fils de Jeannette et Gérard MANSOIF. Sont aussi invités à la noce, Ginette LAMOLLE, la cousine de Paris très délurée, le tonton Néné, vieux garçon pas très futé, et … le public qui participe activement à la cérémonie en montant sur scène lors du jeu du sucre ou pour faire la danse du balai.


 

 2007 : cinquième  SPECTACLE

 

"Le bistrot des rires"

 

      Toujours fidèles à leur devise, les Amuse-Gueules ont choisi pour thème de leur cinquième spectacle : la journée d'inauguration d'un petit café de village.

Tout au long de cette journée, Maurice Tavel, le patron du bar et Chantal sa serveuse blonde inculte, vont voir défiler plus d'une vingtaine de clients peu ordinaires : une majorette très masculine, un ministre-sénateur-député-maire en pleine campagne présidentielle, une journaliste, deux gendarmettes méridionales, un curé poursuivi par sa bonne, un gourou africain, un couple de retraités : Gustave et Marie Louise Coquillard, une Préfète alcoolique : Madame Fiolon, sans oublier, Germaine Labigue : la rebouteuse, Marcel Blaireau : le chasseur aboyeur, la Marie-Té du Brugeron, la Raymonde et son fils :Popaul , la Francine et sa fille :la grande Yvette …, sans oublier "l'invité" surprise pas vraiment invité et qui en surprendra plus d'un !

Et comme dans tous les spectacles, le public aussi tient un rôle important, il participe activement à la représentation et est souvent convié à monter sur scène.

Cette suite de sketches et de chansons n'a qu'un seul but : divertir et déclencher les rires dans la salle. Ce spectacle a été entièrement écrit et mis en scène par les Amuse-Gueules.

 


  

2011 : sixième  SPECTACLE

 

"bienvenue chez les fous...rires"

 

      Entièrement écrit et mis en scène par la troupe, ce spectacle présente la journée « portes ouvertes » de l'asile psychiatrique "Le Fou de Bassan".

     Tout au long de cette journée, le directeur, Jean Charles LEFOUTRIQUET, aidé de deux de ses anciens patients, Le Marquis LEBORGNE et Maïa LABEILLE, vous fait visiter son établissement. Vous découvrez alors les différents pensionnaires de cet asile, tous plus "déjantés" les uns que les autres, et faites surtout connaissance avec 3 "grandes malades" : Gisèle Merluchon, Claudette Poumerol et Simone Pissedru.

      Comme toujours, le public est invité à participer activement à la représentation, ceci évidemment dans l'unique but de le divertir et de déclencher les rires dans la salle.

 


  

2014 : septième  SPECTACLE

 

"pour le meilleur…

et pour le rire"

 

      Le jour se lève, le réveil sonne et Angèle LECORNU se lève, elle va nous faire vivre sa journée de concierge dans ce petit immeuble situé au 7 rue des Amuse-Gueules. Immeuble où cohabite une dizaine de locataires. Le public fera donc la connaissance du père Martin surnommé Gam Vert à cause de sa passion pour le jardinage, de Gisèle BERGOUGNOUX et son fils Popaul, de Victorine, une

octogénaire très alerte pour son âge, de Simone PISSEDRU, vieille fille acariâtre, du colonel TETARRAU retraité de l’armée, de Bébert toujours à la recherche de son permis de conduire, de Lucien FIOLON, veuf qui essaie de noyer son chagrin dans la vipérine, de Gérard, le syndicaliste pessimiste, de Marie Té la noctambule qui ne loupe jamais un bal, sans oublier Pierrot, le plombier blagueur, l’adjudant chef de gendarmerie PIEDEVIGNE, et bien sur Marcel le chasseur qui rentre de battue de chasse soit14 personnages tous plus loufoques les uns que les autres pour 2 h 30 de rires non stop !

 


  

2019 : huitième  SPECTACLE

 

"rira bien qui ira

à garnier"

 

      D'après un rapport du ministère de la santé, les français n'ont plus le moral, ils rient de moins en moins. Un enfant rit en moyenne 300 à 400 fois par jour alors qu'un adulte ne rirait lui que 10 à 15 fois par jour. Des études démontrent que les individus laissent de moins en moins de place au rire : 19 minutes en 1939, 6 minutes en 1983 et environ 1 minute aujourd'hui. Des chiffres surprenants surtout lorsque l'on sait que 7 % des français prétendent ne pas rire du tout. Aussi suite à ce rapport alarmant, Madame Agnès BUZIN, ministre de la santé, a décidé de prendre les choses en main. En accord avec le Ministère du travail, elle a demandé à Pôle Emploi de former des chômeurs longue durée au métier d'animateur comique afin qu'ils aillent faire rire les français dans les restaurants, les bars, les salles des fêtes, et même chez eux à domicile.

      L'auberge de Garnier et ses nouveaux propriétaires, Flavie et Antoine, ont accepté le partenariat avec Pôle Emploi et c'est Jessica, sans emploi et sans diplôme, qui a signé avec eux un contrat d' "animateuse". N'ayant jamais fait de scène ni ne s'étant jamais produite devant un public, la troupe locale des "Amuse-Gueules" a décidé de l'épauler et de la former dans sa nouvelle activité. Malheureusement, le jour de la première, la voiture des Amuse-Gueules tombe en panne avec tout leur matériel. Ils ne peuvent donc monter à l'auberge pour assurer le spectacle de la soirée.

      Jessica se retrouve donc toute seule pour animer une soirée qui s'annonce difficile pour elle … Heureusement de "bonnes âmes" vont l'aider et lui donner quelques conseils, en effet suite à une erreur de date, le maire et ses adjoints se retrouvent ce même soir à l'auberge pour faire leur réunion mensuelle de conseil et "casser une petite croûte" après la réunion....Mais cela sera t-il suffisant pour faire rire un public qui n'est venu que pour ça ?


 

2022 : neuvième  

SPECTACLE

 

"beauseigne,

vaut mieux en rire !"

  

Georgette CHAGNOTTE, (mamie Chagnotte pour les intimes) vient d’avoir 82 ans, et sa fille unique, Denise, qui n’a pas encore coupé le cordon avec sa mère, veut les fêter dignement. Elle appelle donc l’auberge de Garnier pour réserver une table, mais précise que son mari, Daniel BEAUSEIGNE, passera confirmer la réservation 15 jours avant. En effet Georgette doit se faire opérer des cataractes et ce n’est pas certain qu’elle soit bien rétablie pour la date choisie. Finalement l’opération s’étant bien passée, ils montent tous à Garnier le jour dit pour fêter l’anniversaire de Mamie Chagnotte. Mais c’était sans compter sur la mémoire défaillante de Daniel qui a oublié de confirmer la réservation !

 Ils arrivent donc à l’auberge, la salle est complète car ce soir il y a un concert avec l’orchestre rock « The Constypés ». Denise devient hystérique en voyant que par la faute de Daniel, ils ne pourront pas diner ce soir. Elle lui fait une scène de ménage au beau milieu de l’auberge pensant qu’il l’a fait exprès. Voyant que la situation vire au tragique, la propriétaire de l’auberge va leur proposer de leur installer une table sur la scène afin qu’ils puissent manger, par contre ils devront la libérer pour 22 h 00, début du concert.

 Le public va donc pouvoir suivre les conversations de la famille BEAUSEIGNE tout au long de leur repas et rentrer dans leur intimité familiale. Et ce n’est pas triste, en effet, entre Denise qui couve sa mère comme une mère poule, Daniel, "grande gueule" et buté de nature, qui a du mal à supporter aussi bien son fils que sa belle mère, Georgette, qui en plus de soucis auditifs a aussi des problèmes d’incontinence, sans oublier Brandon, le fils de Denise et Daniel, qu’ils ont eu sur le tard, un fils unique et gâté, toujours en train de râler, mal dans sa peau et qui a toujours les yeux rivés sur son portable, la soirée promet d'être compliquée pour les BEAUSEIGNE. Heureusement qu'à 22 h 00, il y a un concert...enfin normalement...c'est ce qui était prévu…

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